
La presse
Re: La presse

Re: La presse
ET BIEN SUR CARCAWINER TU AS RAISON LE FESTIVAL DE LA CITE 100 EURO LA PLACE POUR JOHN ne peut pas etre dans la bourse de tous les carcassonais.
Re: La presse
Ne vous emballez pas.
J'ai supprimé la phrase qui dépassait les limites de la charte. Cette phrase était hors charte et je pense qu'il le sait et ne le conteste pas.
Je n'ai d'ailleurs pas modifié le reste de son discours. Il est évidemment en droit de s'interroger sur le rôle de la municipalité dans cette affaire.
J'ai supprimé la phrase qui dépassait les limites de la charte. Cette phrase était hors charte et je pense qu'il le sait et ne le conteste pas.
Je n'ai d'ailleurs pas modifié le reste de son discours. Il est évidemment en droit de s'interroger sur le rôle de la municipalité dans cette affaire.
Re: La presse
Vu sur le site de La Dépêche du Midi
Publié le 24/04/2012 03:48 | La Dépêche du Midi
L'USC en vitrine à l'office de tourisme
A J- 4 du derby de Pro D2

L'USC en vitrine à l'office de tourisme
VITRINE
Hier matin, l'US Carcassonne et l'Office de Tourisme ont officialisé le lancement des vitrines de l'Office aux couleurs du club. L'Adjoint aux sports Christophe Fanjeaux, le directeur de l'Office de Tourisme Franck Delahaye, les présidents de l'USC Frédéric Calamel pour la SASP et Marc Gademer pour l'Association, ont posé devant les vitrines (notre photo) mettant à l'honneur l'USC, en présence de joueurs et de membres du club.
RCNM 1
Depuis vendredi, les 1500 places du repas d'après-match ont trouvé preneur. Il ne reste donc plus aucune place pour ce repas malgré les nombreuse demandes, le club ayant dû se limiter à la capacité d'accueil de la structure réceptive de Domec et de la salle du Dôme.
Près de 6000 places ont déjà été vendues pour le match.
RCNM 2
L'USC a finalement décidé de ne pas mettre en place la soirée dansante après le repas d'après-match.
Cette décision a été prise dans le but de ne pas concurrencer les bars et lieux de fête habituels de la ville.
DEDICACES
Mercredi 9 mai, de 15h à 16h, les joueurs de l'USC seront en dédicaces chez Décathlon Carcassonne, partenaire de la boutique officielle de l'USC. À cette occasion, des réductions seront mises en places sur de nombreux produits USC dans le magasin Décathlon.
BILLETTERIE
Le siège de l'USC sera ouvert samedi de 10h à 12h et de 14h à 16h afin que les retardataires puissent venir acheter leurs billets pour le derby USC-RCNM*, et s'équiper en Jaune et Noir (*dans la limite des places disponibles).
Lien direct: http://www.ladepeche.fr/article/2012/04 ... risme.html
Publié le 24/04/2012 03:48 | La Dépêche du Midi
L'USC en vitrine à l'office de tourisme
A J- 4 du derby de Pro D2

L'USC en vitrine à l'office de tourisme
VITRINE
Hier matin, l'US Carcassonne et l'Office de Tourisme ont officialisé le lancement des vitrines de l'Office aux couleurs du club. L'Adjoint aux sports Christophe Fanjeaux, le directeur de l'Office de Tourisme Franck Delahaye, les présidents de l'USC Frédéric Calamel pour la SASP et Marc Gademer pour l'Association, ont posé devant les vitrines (notre photo) mettant à l'honneur l'USC, en présence de joueurs et de membres du club.
RCNM 1
Depuis vendredi, les 1500 places du repas d'après-match ont trouvé preneur. Il ne reste donc plus aucune place pour ce repas malgré les nombreuse demandes, le club ayant dû se limiter à la capacité d'accueil de la structure réceptive de Domec et de la salle du Dôme.
Près de 6000 places ont déjà été vendues pour le match.
RCNM 2
L'USC a finalement décidé de ne pas mettre en place la soirée dansante après le repas d'après-match.
Cette décision a été prise dans le but de ne pas concurrencer les bars et lieux de fête habituels de la ville.
DEDICACES
Mercredi 9 mai, de 15h à 16h, les joueurs de l'USC seront en dédicaces chez Décathlon Carcassonne, partenaire de la boutique officielle de l'USC. À cette occasion, des réductions seront mises en places sur de nombreux produits USC dans le magasin Décathlon.
BILLETTERIE
Le siège de l'USC sera ouvert samedi de 10h à 12h et de 14h à 16h afin que les retardataires puissent venir acheter leurs billets pour le derby USC-RCNM*, et s'équiper en Jaune et Noir (*dans la limite des places disponibles).
Lien direct: http://www.ladepeche.fr/article/2012/04 ... risme.html

Re: La presse
Vu sur le site de l'Indépendant
Sous les crampons de l'USC
Le 24/04/2012 à 06h00

Elus, joueurs et dirigeants ont inauguré, hier, la vitrine de l'Office de tourisme. © DR
Vitrine
Pendant un mois, la vitrine de l'Office de tourisme se met aux couleurs de l'USC ! L'inauguration s'est déroulée hier matin, en présence de dirigeants et joueurs du club. Carcassonnais et touristes pourront l'admirer jusqu'à fin mai.
Exploit
C'était une sacrée performance de s'imposer à Albi, où seul Mont-de-Marsan avait gagné cette saison (14-15). Certes, les Tarnais étaient décimés par une dizaine d'absences, mais les jeunes qui les ont remplacés ont posé beaucoup de problèmes aux Audois.
Pénalités
Les Carcassonnais ont eu d'autant plus de mal à s'imposer que Garcia n'était pas dans un grand soir. Après trois pénalités manquées, c'est Cazeaux qui a pris le relais, alors qu'Albi menait 10-7.
L'arrière n'a pas tremblé, enquillant les deux coups de pied de la victoire.
Défense
Avec 10 points encaissés, les Carcassonnais ont réalisé leur meilleure performance en défense depuis six mois. Cette saison, ils n'ont fait mieux qu'une seule fois, à Périgueux (victoire 7-39). Puis viennent les matchs à Narbonne (12 points encaissés), à Béziers et à Oyonnax (13). Que des rencontres à l'extérieur ! Maillot
Comme à Aix-en-Provence, où ils avaient gagné il y a quinze jours, les Carcassonnais se sont imposés à Albi en jouant tout en blanc. Après le match, ils ont obtenu de leur président le droit de garder leur maillot ! Derbies
Pour avoir une chance de se qualifier pour les demi-finales, les Carcassonnais doivent absolument gagner les deux derbies à Domec : contre Narbonne, ce samedi (18 h 30), puis Béziers le samedi 12 mai (19 h). Les premiers ont assuré leur maintien, tandis que les seconds sont déjà relégués.
Suspense
À deux journées de la fin, l'USC est toujours dans le top-5, mais Mont-de-Marsan, 6e à un point, doit jouer un match en retard. Si tous les postulants aux demi-finales gagnent leurs derniers matchs, l'USC ne finira que 6e. Mais Dax doit recevoir Grenoble et aller à Bourgoin, Mont-de-Marsan doit visiter à Bourgoin, Pau aller à Auch et La Rochelle à Aurillac. Pas facile tout ça…
Club
Fortunes diverses pour les autres équipes de l'USC. Les espoirs se sont lourdement inclinés à Oyonnax (51-3). Quant aux féminines, elles disputaient un tournoi à Decazeville. Battues 34-19 par l'équipe locale, elles ont ensuite dominé Saint-Gaudens (19-5) avant de subir la loi de Montpellier (45-0).
USC-Narbonne
Près de 6 000 places ont déjà été vendues pour le derby ! Le repas d'après-match, qui se déroulera simultanément sous la structure réceptive et au Dôme, affiche déjà complet avec 1 500 convives. Le club a même dû refuser du monde ! Par contre, la soirée dansante suivant le repas a finalement été annulée afin de ne pas concurrencer les bars et lieux de fête habituels de la ville.
Lien direct: http://www.lindependant.fr/2012/04/24/s ... 133451.php
Sous les crampons de l'USC
Le 24/04/2012 à 06h00

Elus, joueurs et dirigeants ont inauguré, hier, la vitrine de l'Office de tourisme. © DR
Vitrine
Pendant un mois, la vitrine de l'Office de tourisme se met aux couleurs de l'USC ! L'inauguration s'est déroulée hier matin, en présence de dirigeants et joueurs du club. Carcassonnais et touristes pourront l'admirer jusqu'à fin mai.
Exploit
C'était une sacrée performance de s'imposer à Albi, où seul Mont-de-Marsan avait gagné cette saison (14-15). Certes, les Tarnais étaient décimés par une dizaine d'absences, mais les jeunes qui les ont remplacés ont posé beaucoup de problèmes aux Audois.
Pénalités
Les Carcassonnais ont eu d'autant plus de mal à s'imposer que Garcia n'était pas dans un grand soir. Après trois pénalités manquées, c'est Cazeaux qui a pris le relais, alors qu'Albi menait 10-7.
L'arrière n'a pas tremblé, enquillant les deux coups de pied de la victoire.
Défense
Avec 10 points encaissés, les Carcassonnais ont réalisé leur meilleure performance en défense depuis six mois. Cette saison, ils n'ont fait mieux qu'une seule fois, à Périgueux (victoire 7-39). Puis viennent les matchs à Narbonne (12 points encaissés), à Béziers et à Oyonnax (13). Que des rencontres à l'extérieur ! Maillot
Comme à Aix-en-Provence, où ils avaient gagné il y a quinze jours, les Carcassonnais se sont imposés à Albi en jouant tout en blanc. Après le match, ils ont obtenu de leur président le droit de garder leur maillot ! Derbies
Pour avoir une chance de se qualifier pour les demi-finales, les Carcassonnais doivent absolument gagner les deux derbies à Domec : contre Narbonne, ce samedi (18 h 30), puis Béziers le samedi 12 mai (19 h). Les premiers ont assuré leur maintien, tandis que les seconds sont déjà relégués.
Suspense
À deux journées de la fin, l'USC est toujours dans le top-5, mais Mont-de-Marsan, 6e à un point, doit jouer un match en retard. Si tous les postulants aux demi-finales gagnent leurs derniers matchs, l'USC ne finira que 6e. Mais Dax doit recevoir Grenoble et aller à Bourgoin, Mont-de-Marsan doit visiter à Bourgoin, Pau aller à Auch et La Rochelle à Aurillac. Pas facile tout ça…
Club
Fortunes diverses pour les autres équipes de l'USC. Les espoirs se sont lourdement inclinés à Oyonnax (51-3). Quant aux féminines, elles disputaient un tournoi à Decazeville. Battues 34-19 par l'équipe locale, elles ont ensuite dominé Saint-Gaudens (19-5) avant de subir la loi de Montpellier (45-0).
USC-Narbonne
Près de 6 000 places ont déjà été vendues pour le derby ! Le repas d'après-match, qui se déroulera simultanément sous la structure réceptive et au Dôme, affiche déjà complet avec 1 500 convives. Le club a même dû refuser du monde ! Par contre, la soirée dansante suivant le repas a finalement été annulée afin de ne pas concurrencer les bars et lieux de fête habituels de la ville.
Lien direct: http://www.lindependant.fr/2012/04/24/s ... 133451.php

Re: La presse
Vu sur le site de La LNR
Par Baptiste LE BEUX, le 24 avril 2012.
PRO D2, J29 - Christian Labit (Carcassonne) : « Mettre les joueurs dans une bulle »
Pour sa deuxième saison en PRO D2, l’USC est en course pour les demi-finales de PRO D2, comme le souhaitait Christian Labit en début de saison. Fidèle à ses ambitions, le coach audois et ses joueurs poursuivent leur progression dans une logique d’humilité et de simplicité, jusque-là payante. A deux journées de l’exploit, ils sont en route pour le rêve, à condition de rester dans leur bulle, et de ne pas en sortir.

A deux journées de la fin du championnat, Christian Labit et Carcassonne sont proches d’atteindre leur objectif, celui de se qualifier pour les demi-finales... à condition de bien négocier les deux prochains matches à domiciles. (Crédit photo : Presse Sports).
En début de saison, vous nous annonciez un objectif, personnel, celui de jouer les phases finales… aujourd’hui, à deux journées de la fin, vous êtes en course pour y parvenir ?
(Soupirs) Oui, on y est, on y est. Enfin du moins, sur la route, car il y a encore deux matches pour tout le monde et tout le monde jouera les coups à fond. Le problème est que nous dépendons encore des autres, et que nous avons deux derbys à jouer, deux matches atypiques… nous n’allons pas nous poser plus de questions que d’habitude, nous allons jouer ces matches avec la volonté de les gagner pour déjà aller le plus haut possible dans ce championnat, et si l’avenir nous sourit, pour peut-être disputer les phases finales.
A l’entame de l’exercice actuel, beaucoup pensaient qu’après votre saison 2010-2011 tonitruante, il vous serait compliqué de faire au moins aussi bien… vous faites mieux.
(Rires) En effet, mais je m’y suis habitué depuis que je suis arrivé à Carcassonne. Il y a eu trois caps importants, trois objectifs à atteindre, et à chaque fois nous n’avons pas été épargnés.
Le premier, c’était lorsque j’ai pris l’équipe en main lors de la saison 2007-2008. Beaucoup d’entraîneurs s’y étaient cassés les dents, et on me promettait l’enfer. La première difficulté était de composer avec l’effectif alors présent et de monter le plus haut possible. J’avais annoncé que le but était à court terme d’atteindre la PRO D2. On me prenait pour un fou, mais je suis quelqu’un qui aime les challenges, ce qui me motive, c’est de relever les défis. J’ai été fidèle à mes ambitions, et à la fin de la saison nous remportions le championnat (NDLR : 16-15 face à Arras) et montions en Fédérale 1. Après une année de transition, nous avons remporté le championnat de Fédérale 1 en 2010 (NDLR : 16-3 contre Saint-Etienne). En trois saisons, nous avons été champions deux fois pour monter en deuxième division professionnelle. L’objectif était donc atteint.
De fait, le deuxième était de se maintenir. Là encore on m’a dit que nous vivrions l’enfer. Au mois de décembre 2010, nous sommes quatrième, nous finissons en milieu de tableau (NDLR : 10ème) mais avec un maintien assuré très vite. Objectif là encore atteint.
Ensuite, pour notre deuxième saison en PRO D2, on m’a encore dit que ce serait l’enfer, car après le parcours que nous avions réalisé, le plus dur commençait. Nous n’allions plus surprendre, tout le monde nous attendrait au tournant… effectivement, il fallait prouver notre valeur, et pour cela donner de nouveaux objectifs à un groupe quasiment inchangé, car nous avions conservé environ 80% de nos joueurs, dont beaucoup sont issus de Fédérale 1, et dont quelques-uns ont débuté l’aventure dès la Fédérale 2. Au final, on se rend compte que nous ne sommes pas très loin des meilleurs, car nous sommes encore en course pour les demi-finales. Le troisième objectif a donc lui aussi été atteint.
Comment expliquez-vous cette ascension fulgurante ?
On nous a prédit beaucoup d’enfer, dit beaucoup de choses négatives, et cela a été une motivation supplémentaire. Cela m’a donné envie d’aller encore plus loin, je l’ai transmis aux joueurs qui ont fait preuve d’une énorme envie aussi, et cela nous a permis de traverser sereinement les épreuves. Je crois aussi, que c’est notre façon de vivre, en groupe j’entends, qui a fait que nous avons gravi les échelons de cette manière. Nous avons toujours évolué en toute humilité, en toute simplicité, et ça paie.
Aujourd’hui, à travers toutes ces épreuves, le club est pérennisé, malgré, je le répète encore, le plus petit budget du championnat, des structures parmi les moins développées de la PRO D2, 12 joueurs issus de la Fédérale 1, peu, mais quelques-uns encore, de la Fédérale 2… notre force est là, celle de s’appuyer sur des joueurs qui ne sont peut-être pas les meilleurs mais qui donnent tout et qui croient au projet de jeu, sans compter sur un gros recrutement. C’est une de mes plus grosses fiertés.
Après deux saisons en PRO D2, on voit que nous ne sommes pas loin du bout, et que si nous n’y parvenons pas, ce n’est pas une fin en soi, car nous avons frisé le plus haut niveau. Nous avons été l’une des formations les plus performantes, nous avons marqué les esprits, et nous nous serons donnés les moyens de croire en nos capacités afin d’atteindre nos objectifs.
Pourtant, l’USC n’a pas été un modèle de régularité. Il y a eu des périodes de haut, de bas, de très haut… comment l’expliquez-vous ?
Simplement par un fonctionnement, qui par rapport aux autres équipes de tête, ne nous permet pas d’être les plus forts. Les quatre ou cinq autres équipes de tête bénéficient de beaucoup de moyens, et notamment pour le recrutement. Aussi quand il y a eu de la casse, ils avaient un réservoir leur permettant de faire tourner sans perdre en qualité, de faire souffler les organismes, ce que je ne pouvais pas me permettre.
Après, nous perdons quelques matches de peu, que nous aurions pu ou du remporter. Je pense au match aller à Grenoble en début de saison (NDLR : revers 12-17), au match aller à la maison contre Mont-de-Marsan (NDLR : défaite 25-30), plus récemment aux défaites dans les arrêts de jeu à Bourgoin (NDLR : 30-33) ou à Mont de Marsan (NDLR : 15-20), le nul à Oyonnax (NDLR : 13-13)… mais les grosses écuries, elles, ont gagné ce genre de matches. Cela vient sûrement d’un manque d’expérience, de continuité, mais il ne nous manque pas grand-chose.
Vous avez les cartes en main pour y parvenir avec deux matches à domicile. Pensez-vous que cela peut faire pencher la balance, d’autant plus face à deux formations qui n’ont plus rien à gagner ni à perdre ?
C’est à double tranchant, d’autant plus qu’il s’agit de deux derbys. Narbonne, puisque c’est notre prochain adversaire, ne viendra pas pour nous faire des cadeaux. S’ils peuvent nous empêcher de poursuivre notre route vers les demies, ils ne vont pas s’en priver. Nous ne nous fions qu’à nous. C’est certes plus facile de jouer deux fois à la maison pour finir que de se déplacer, mais ce championnat est tellement long et tellement relevé, que la donne peut changer n’importe quand, même au dernier moment.
Ce qui est regrettable est que certaines formations ont, semble-t-il, lâché depuis quelques temps, car elles n’avaient plus rien à perdre ni à gagner. Du coup, elles ont quelque peu faussé le championnat, et cela peut être encore accentué puisque le maintien est plié. Mais nous ne ferons pas de comptes d’apothicaire et nous ne compterons que sur nous-même, en jouant comme nous l’avons toujours fait. S’il y a la cerise sur le gâteau au final, ce sera encore plus beau.
Que pensez-vous justement de Narbonne, qui a longtemps lutté pour sa survie et qui depuis quelques semaines a montré un tout autre visage, prouvant que le club n’était peut-être pas à sa place ? On dit que l’on a la place que l’on mérite ! Mais, avec l’affection que je peux avoir pour cette équipe (NDLR : Christian Labit a joué au RCNM de 1989 à 1997 puis de 2005 à 2007), je suis content que cette équipe se soit maintenue, car elle mérite de rester à ce niveau. L’arrivée des Australiens à la tête du club a permis d’écarter des personnes qui ne lui apportaient rien. C’est une nouvelle philosophie, certes menée par des étrangers, mais qui a permis à cette équipe de se sauver.
Personnellement et sur un plan purement sportif, j’aimerais avoir les mêmes conditions de travail, les mêmes outils, le même budget que peuvent avoir les Narbonnais. Ils ont beaucoup de clés pour réussir, et je fais confiance à ces hommes « nouveaux » pour initier le changement et permettre au club de rebondir.
Comment abordez-vous cette fin de parcours ?
On ne change pas grand-chose à Carcassonne. Ce match sera encore plus dur que d’habitude, d’abord parce que c’est un derby, ensuite parce qu’avec notre dynamique de victoire et notre place au classement, les gens seront encore plus demandeurs. Il y aura donc une préparation psychologique solide à mettre en place, pour mettre les joueurs dans une bulle, et ne pas les en faire sortir. Même si je sais que tous ont une énorme envie de tirer dans le même sens, de parfaitement préparer ce rendez-vous et cette fin de saison, le contexte peut en faire dégoupiller un ou deux. Mais je vais faire en sorte que cela n’arrive pas !
Après, sur le plan sportif, il faudra réussir à mettre les bons ingrédients pour battre ces deux équipes et croire à la qualification. Je veux que ce soit la fête pour tout le monde, et si dans deux journées, nous pouvons rendre les choses encore plus belles, ce serait exceptionnel.
Lien direct: http://www.lnr.fr/pro-d2-le-point-pro-d ... 14438.html
Par Baptiste LE BEUX, le 24 avril 2012.
PRO D2, J29 - Christian Labit (Carcassonne) : « Mettre les joueurs dans une bulle »
Pour sa deuxième saison en PRO D2, l’USC est en course pour les demi-finales de PRO D2, comme le souhaitait Christian Labit en début de saison. Fidèle à ses ambitions, le coach audois et ses joueurs poursuivent leur progression dans une logique d’humilité et de simplicité, jusque-là payante. A deux journées de l’exploit, ils sont en route pour le rêve, à condition de rester dans leur bulle, et de ne pas en sortir.

A deux journées de la fin du championnat, Christian Labit et Carcassonne sont proches d’atteindre leur objectif, celui de se qualifier pour les demi-finales... à condition de bien négocier les deux prochains matches à domiciles. (Crédit photo : Presse Sports).
En début de saison, vous nous annonciez un objectif, personnel, celui de jouer les phases finales… aujourd’hui, à deux journées de la fin, vous êtes en course pour y parvenir ?
(Soupirs) Oui, on y est, on y est. Enfin du moins, sur la route, car il y a encore deux matches pour tout le monde et tout le monde jouera les coups à fond. Le problème est que nous dépendons encore des autres, et que nous avons deux derbys à jouer, deux matches atypiques… nous n’allons pas nous poser plus de questions que d’habitude, nous allons jouer ces matches avec la volonté de les gagner pour déjà aller le plus haut possible dans ce championnat, et si l’avenir nous sourit, pour peut-être disputer les phases finales.
A l’entame de l’exercice actuel, beaucoup pensaient qu’après votre saison 2010-2011 tonitruante, il vous serait compliqué de faire au moins aussi bien… vous faites mieux.
(Rires) En effet, mais je m’y suis habitué depuis que je suis arrivé à Carcassonne. Il y a eu trois caps importants, trois objectifs à atteindre, et à chaque fois nous n’avons pas été épargnés.
Le premier, c’était lorsque j’ai pris l’équipe en main lors de la saison 2007-2008. Beaucoup d’entraîneurs s’y étaient cassés les dents, et on me promettait l’enfer. La première difficulté était de composer avec l’effectif alors présent et de monter le plus haut possible. J’avais annoncé que le but était à court terme d’atteindre la PRO D2. On me prenait pour un fou, mais je suis quelqu’un qui aime les challenges, ce qui me motive, c’est de relever les défis. J’ai été fidèle à mes ambitions, et à la fin de la saison nous remportions le championnat (NDLR : 16-15 face à Arras) et montions en Fédérale 1. Après une année de transition, nous avons remporté le championnat de Fédérale 1 en 2010 (NDLR : 16-3 contre Saint-Etienne). En trois saisons, nous avons été champions deux fois pour monter en deuxième division professionnelle. L’objectif était donc atteint.
De fait, le deuxième était de se maintenir. Là encore on m’a dit que nous vivrions l’enfer. Au mois de décembre 2010, nous sommes quatrième, nous finissons en milieu de tableau (NDLR : 10ème) mais avec un maintien assuré très vite. Objectif là encore atteint.
Ensuite, pour notre deuxième saison en PRO D2, on m’a encore dit que ce serait l’enfer, car après le parcours que nous avions réalisé, le plus dur commençait. Nous n’allions plus surprendre, tout le monde nous attendrait au tournant… effectivement, il fallait prouver notre valeur, et pour cela donner de nouveaux objectifs à un groupe quasiment inchangé, car nous avions conservé environ 80% de nos joueurs, dont beaucoup sont issus de Fédérale 1, et dont quelques-uns ont débuté l’aventure dès la Fédérale 2. Au final, on se rend compte que nous ne sommes pas très loin des meilleurs, car nous sommes encore en course pour les demi-finales. Le troisième objectif a donc lui aussi été atteint.
Comment expliquez-vous cette ascension fulgurante ?
On nous a prédit beaucoup d’enfer, dit beaucoup de choses négatives, et cela a été une motivation supplémentaire. Cela m’a donné envie d’aller encore plus loin, je l’ai transmis aux joueurs qui ont fait preuve d’une énorme envie aussi, et cela nous a permis de traverser sereinement les épreuves. Je crois aussi, que c’est notre façon de vivre, en groupe j’entends, qui a fait que nous avons gravi les échelons de cette manière. Nous avons toujours évolué en toute humilité, en toute simplicité, et ça paie.
Aujourd’hui, à travers toutes ces épreuves, le club est pérennisé, malgré, je le répète encore, le plus petit budget du championnat, des structures parmi les moins développées de la PRO D2, 12 joueurs issus de la Fédérale 1, peu, mais quelques-uns encore, de la Fédérale 2… notre force est là, celle de s’appuyer sur des joueurs qui ne sont peut-être pas les meilleurs mais qui donnent tout et qui croient au projet de jeu, sans compter sur un gros recrutement. C’est une de mes plus grosses fiertés.
Après deux saisons en PRO D2, on voit que nous ne sommes pas loin du bout, et que si nous n’y parvenons pas, ce n’est pas une fin en soi, car nous avons frisé le plus haut niveau. Nous avons été l’une des formations les plus performantes, nous avons marqué les esprits, et nous nous serons donnés les moyens de croire en nos capacités afin d’atteindre nos objectifs.
Pourtant, l’USC n’a pas été un modèle de régularité. Il y a eu des périodes de haut, de bas, de très haut… comment l’expliquez-vous ?
Simplement par un fonctionnement, qui par rapport aux autres équipes de tête, ne nous permet pas d’être les plus forts. Les quatre ou cinq autres équipes de tête bénéficient de beaucoup de moyens, et notamment pour le recrutement. Aussi quand il y a eu de la casse, ils avaient un réservoir leur permettant de faire tourner sans perdre en qualité, de faire souffler les organismes, ce que je ne pouvais pas me permettre.
Après, nous perdons quelques matches de peu, que nous aurions pu ou du remporter. Je pense au match aller à Grenoble en début de saison (NDLR : revers 12-17), au match aller à la maison contre Mont-de-Marsan (NDLR : défaite 25-30), plus récemment aux défaites dans les arrêts de jeu à Bourgoin (NDLR : 30-33) ou à Mont de Marsan (NDLR : 15-20), le nul à Oyonnax (NDLR : 13-13)… mais les grosses écuries, elles, ont gagné ce genre de matches. Cela vient sûrement d’un manque d’expérience, de continuité, mais il ne nous manque pas grand-chose.
Vous avez les cartes en main pour y parvenir avec deux matches à domicile. Pensez-vous que cela peut faire pencher la balance, d’autant plus face à deux formations qui n’ont plus rien à gagner ni à perdre ?
C’est à double tranchant, d’autant plus qu’il s’agit de deux derbys. Narbonne, puisque c’est notre prochain adversaire, ne viendra pas pour nous faire des cadeaux. S’ils peuvent nous empêcher de poursuivre notre route vers les demies, ils ne vont pas s’en priver. Nous ne nous fions qu’à nous. C’est certes plus facile de jouer deux fois à la maison pour finir que de se déplacer, mais ce championnat est tellement long et tellement relevé, que la donne peut changer n’importe quand, même au dernier moment.
Ce qui est regrettable est que certaines formations ont, semble-t-il, lâché depuis quelques temps, car elles n’avaient plus rien à perdre ni à gagner. Du coup, elles ont quelque peu faussé le championnat, et cela peut être encore accentué puisque le maintien est plié. Mais nous ne ferons pas de comptes d’apothicaire et nous ne compterons que sur nous-même, en jouant comme nous l’avons toujours fait. S’il y a la cerise sur le gâteau au final, ce sera encore plus beau.
Que pensez-vous justement de Narbonne, qui a longtemps lutté pour sa survie et qui depuis quelques semaines a montré un tout autre visage, prouvant que le club n’était peut-être pas à sa place ? On dit que l’on a la place que l’on mérite ! Mais, avec l’affection que je peux avoir pour cette équipe (NDLR : Christian Labit a joué au RCNM de 1989 à 1997 puis de 2005 à 2007), je suis content que cette équipe se soit maintenue, car elle mérite de rester à ce niveau. L’arrivée des Australiens à la tête du club a permis d’écarter des personnes qui ne lui apportaient rien. C’est une nouvelle philosophie, certes menée par des étrangers, mais qui a permis à cette équipe de se sauver.
Personnellement et sur un plan purement sportif, j’aimerais avoir les mêmes conditions de travail, les mêmes outils, le même budget que peuvent avoir les Narbonnais. Ils ont beaucoup de clés pour réussir, et je fais confiance à ces hommes « nouveaux » pour initier le changement et permettre au club de rebondir.
Comment abordez-vous cette fin de parcours ?
On ne change pas grand-chose à Carcassonne. Ce match sera encore plus dur que d’habitude, d’abord parce que c’est un derby, ensuite parce qu’avec notre dynamique de victoire et notre place au classement, les gens seront encore plus demandeurs. Il y aura donc une préparation psychologique solide à mettre en place, pour mettre les joueurs dans une bulle, et ne pas les en faire sortir. Même si je sais que tous ont une énorme envie de tirer dans le même sens, de parfaitement préparer ce rendez-vous et cette fin de saison, le contexte peut en faire dégoupiller un ou deux. Mais je vais faire en sorte que cela n’arrive pas !
Après, sur le plan sportif, il faudra réussir à mettre les bons ingrédients pour battre ces deux équipes et croire à la qualification. Je veux que ce soit la fête pour tout le monde, et si dans deux journées, nous pouvons rendre les choses encore plus belles, ce serait exceptionnel.
Lien direct: http://www.lnr.fr/pro-d2-le-point-pro-d ... 14438.html

Re: La presse
Vu sur le site de Sud ouest
15h17
Par DAVID Arnaud
ProD2 : la finale de barrage à Bordeaux
La finale de barrage de ProD2 se disputera au Stade Chaban-Delmas à Bordeaux le dimanche 27 mai

La finale de barrage de ProD2 se disputera au Stade Chaban-Delmas à Bordeaux le dimanche 27 mai, a annoncé ce jeudi le Comité directeur de la Ligue nationale. Derrière Grenoble, déjà assuré de sa place en Top 14 la saison prochaine, quatre clubs du Sud Ouest sont en lice pour la montée à deux journées de la fin : La Rochelle (2e), Dax (3e) , Pau (4e) et Mont de Marsan (6e) qui compte un match de retard sur Carcassonne (5e). A.D
Lien direct: http://www.sudouest.fr/2012/04/26/prod2 ... S-10521769
15h17
Par DAVID Arnaud
ProD2 : la finale de barrage à Bordeaux
La finale de barrage de ProD2 se disputera au Stade Chaban-Delmas à Bordeaux le dimanche 27 mai

La finale de barrage de ProD2 se disputera au Stade Chaban-Delmas à Bordeaux le dimanche 27 mai, a annoncé ce jeudi le Comité directeur de la Ligue nationale. Derrière Grenoble, déjà assuré de sa place en Top 14 la saison prochaine, quatre clubs du Sud Ouest sont en lice pour la montée à deux journées de la fin : La Rochelle (2e), Dax (3e) , Pau (4e) et Mont de Marsan (6e) qui compte un match de retard sur Carcassonne (5e). A.D
Lien direct: http://www.sudouest.fr/2012/04/26/prod2 ... S-10521769

Re: La presse
Vu sur le site de La Dépêche du Midi
la semaine de tous les espoirs

Stade Domec, 14 avril 2012. L'USC vient de s'imposer avec panache face à l'US Dax (34-20). Le président Frédéric Calamel (à droite) fond de joie face à son entraîneur, Christian Labit. Une situation que le staff carcassonnais aimerait revivre ce samedi
Tandis que le recrutement 2012-2013 bruisse de noms multiples, l'US Carcassonne pense avant tout à son match samedi contre Béziers. Pour continuer à rêver de Top 14, allez savoir…
Évidemment, le résultat négatif enregistré dimanche par Mont-de-Marsan à Bourgoin (13-20) a réveillé les ardeurs des Hérétiques et autres Catharix, tous les supporters de l'USC qui pensent que ce ne serait peut-être pas forcément un miracle si leurs joueurs finissaient quand même par accrocher la qualification pour les demi-finales de Pro D2, et ce malgré la grande désillusion du derby face à Narbonne. Pour faire simple, disons que l'affaire serait dans la poche si l'USC parvenait à s'imposer samedi soir contre Béziers avec le bonus offensif, pendant que dans le même temps Mont-de-Marsan sombrerait… à domicile (aïe !) face à… Narbonne (re-aïe !). La seconde condition paraît, de fait, improbable, avec tout le respect qu'on doit au RCNM, à moins que l'embellie ne vienne du Cantal où Aurillac s'imposerait face à La Rochelle en empêchant les Maritimes de prendre le point du bonus défensif, coiffés qu'ils seraient sur le fil par l'USC. Compris ?
Bon, ceci étant posé, la semaine risque d'être longue pour Christian Labit et ses protégés. L'entraîneur de l'USC sait, quelle que soit la composition de son équipe, qu'il pourra compter sur 15 guerriers qui auront à cœur de faire vivre le ballon, produire du jeu, surtout ne pas céder un pouce de terrain face à des Biterrois catastrophés à l'idée de retrouver le purgatoire de la Fédérale. « On va les bouffer. Après on va regarder le ciel pour espérer que les bonnes nouvelles arrivent de l'extérieur », indique un petit groupe de supporters, habitué du Makhila, le siège des Hérétiques.
Leur enthousiasme est visiblement communicatif, jusqu'à inscrire sur la toile que « la demi-finale est encore jouable ». Le site de l'USC le dit sans détour : « Les Jaune et Noir auront à cœur de remporter le derby face à Béziers, ne serait-ce que pour offrir un dernier succès à leurs supporters ! » Aussi, les dirigeants carcassonnais, qui ont clairement fixé les enjeux en ce début de semaine, invitent les supporters à venir aussi nombreux à Domec qu'ils l'étaient le 28 avril face à Narbonne, où les drapeaux et autres « taps taps » étaient de sortie et devraient refaire leur apparition samedi sur le coup de 19 heures.
Recrutement : déjà quatre valeurs sûres
Au lendemain de la déroute face à Narbonne, le président Calamel l'avait promis : on connaîtrait sous dix jours les contours de la future équipe de l'USC. Aujourd'hui, c'est surtout l'union sacrée et la retenue qui semblent être les mots d'ordre du club à quatre jours de la « finale de Pro D2 » contre Béziers. Pas de déclarations ni de confirmations « hâtives » donc à propos du recrutement 2012-2013. Malgré cela, l'assurance de quatre transferts-arrivées : Jean-Baptiste Roidot, le 2e ligne en provenance du Biarritz Olympique ; Thomas Acquier, le pilier biterrois ; Brice Salobert, le demi de mêlée qui jouait cette saison au Lyon olympique universitaire (LOU) ; enfin l'Australien Wayne John Pearce, le talonneur qui évoluait cette année au club de West Harbour (banlieue nord de Sydney). Sinon, l'USC devrait, si tout se passe bien, officialiser les arrivées d'Ayoub (ouvreur, Randwick) et des trois biterrois Siro (demi de mêlée), Vahafolau (3e ligne) et Ramoneda (3e ligne également).
Le chiffre : 82
points > au classement général final. C'est ce chiffre, synonyme de victoire bonifiée samedi face à Béziers, que l'USC doit absolument atteindre pour espérer se qualifier pour les demi-finales du championnat de Pro D2.
Lien direct: http://www.ladepeche.fr/article/2012/05 ... poirs.html
la semaine de tous les espoirs

Stade Domec, 14 avril 2012. L'USC vient de s'imposer avec panache face à l'US Dax (34-20). Le président Frédéric Calamel (à droite) fond de joie face à son entraîneur, Christian Labit. Une situation que le staff carcassonnais aimerait revivre ce samedi
Tandis que le recrutement 2012-2013 bruisse de noms multiples, l'US Carcassonne pense avant tout à son match samedi contre Béziers. Pour continuer à rêver de Top 14, allez savoir…
Évidemment, le résultat négatif enregistré dimanche par Mont-de-Marsan à Bourgoin (13-20) a réveillé les ardeurs des Hérétiques et autres Catharix, tous les supporters de l'USC qui pensent que ce ne serait peut-être pas forcément un miracle si leurs joueurs finissaient quand même par accrocher la qualification pour les demi-finales de Pro D2, et ce malgré la grande désillusion du derby face à Narbonne. Pour faire simple, disons que l'affaire serait dans la poche si l'USC parvenait à s'imposer samedi soir contre Béziers avec le bonus offensif, pendant que dans le même temps Mont-de-Marsan sombrerait… à domicile (aïe !) face à… Narbonne (re-aïe !). La seconde condition paraît, de fait, improbable, avec tout le respect qu'on doit au RCNM, à moins que l'embellie ne vienne du Cantal où Aurillac s'imposerait face à La Rochelle en empêchant les Maritimes de prendre le point du bonus défensif, coiffés qu'ils seraient sur le fil par l'USC. Compris ?
Bon, ceci étant posé, la semaine risque d'être longue pour Christian Labit et ses protégés. L'entraîneur de l'USC sait, quelle que soit la composition de son équipe, qu'il pourra compter sur 15 guerriers qui auront à cœur de faire vivre le ballon, produire du jeu, surtout ne pas céder un pouce de terrain face à des Biterrois catastrophés à l'idée de retrouver le purgatoire de la Fédérale. « On va les bouffer. Après on va regarder le ciel pour espérer que les bonnes nouvelles arrivent de l'extérieur », indique un petit groupe de supporters, habitué du Makhila, le siège des Hérétiques.
Leur enthousiasme est visiblement communicatif, jusqu'à inscrire sur la toile que « la demi-finale est encore jouable ». Le site de l'USC le dit sans détour : « Les Jaune et Noir auront à cœur de remporter le derby face à Béziers, ne serait-ce que pour offrir un dernier succès à leurs supporters ! » Aussi, les dirigeants carcassonnais, qui ont clairement fixé les enjeux en ce début de semaine, invitent les supporters à venir aussi nombreux à Domec qu'ils l'étaient le 28 avril face à Narbonne, où les drapeaux et autres « taps taps » étaient de sortie et devraient refaire leur apparition samedi sur le coup de 19 heures.
Recrutement : déjà quatre valeurs sûres
Au lendemain de la déroute face à Narbonne, le président Calamel l'avait promis : on connaîtrait sous dix jours les contours de la future équipe de l'USC. Aujourd'hui, c'est surtout l'union sacrée et la retenue qui semblent être les mots d'ordre du club à quatre jours de la « finale de Pro D2 » contre Béziers. Pas de déclarations ni de confirmations « hâtives » donc à propos du recrutement 2012-2013. Malgré cela, l'assurance de quatre transferts-arrivées : Jean-Baptiste Roidot, le 2e ligne en provenance du Biarritz Olympique ; Thomas Acquier, le pilier biterrois ; Brice Salobert, le demi de mêlée qui jouait cette saison au Lyon olympique universitaire (LOU) ; enfin l'Australien Wayne John Pearce, le talonneur qui évoluait cette année au club de West Harbour (banlieue nord de Sydney). Sinon, l'USC devrait, si tout se passe bien, officialiser les arrivées d'Ayoub (ouvreur, Randwick) et des trois biterrois Siro (demi de mêlée), Vahafolau (3e ligne) et Ramoneda (3e ligne également).
Le chiffre : 82
points > au classement général final. C'est ce chiffre, synonyme de victoire bonifiée samedi face à Béziers, que l'USC doit absolument atteindre pour espérer se qualifier pour les demi-finales du championnat de Pro D2.
Lien direct: http://www.ladepeche.fr/article/2012/05 ... poirs.html

- Yes We Can
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Re: La presse
Bon, j'ai pas tout compris sur le recrutement, notamment des biterrois mais bon....
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Re: La presse
a mon avis le journaliste qui a ecrit ce papier n'en sait pas plus que toi et moi et se contente de pecher les infos sur le forum.Yes We Can a écrit :Bon, j'ai pas tout compris sur le recrutement, notamment des biterrois mais bon....
Ramoneda a resigné a l'ASBH d'aprés les forumeurs Biterrois et de plus il est gravement pété...et le reste n'est que suppositions ... attendons l'annonce de Cala avant de faire des plans sur la comète
